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Que vous soyez dans vos premières démarches à l’exportation ou présent sur plusieurs marchés, Commerce International Québec est la bonne porte à ouvrir pour développer vos marchés.
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Formation et activités

Pour que votre entreprise développe les compétences nécessaires à la diversification de vos activités hors Québec. Nous couvrons les sujets essentiels
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Opération Prospérité Québec

Deco
Logo opération prospérité Québec

Une mobilisation pan-régionale pour soutenir les exportateurs du Québec

 

Dans un contexte d’incertitude face aux nouvelles barrières économiques entre le Canada et les États-Unis, Commerce International Québec, en collaboration avec les ORPEX des 17 régions administratives, est fier de lancer Opération Prospérité Québec. Cette initiative propose des solutions stratégiques concrètes pour accompagner et soutenir les PME exportatrices désireuses de diversifier leurs marchés, tant au Canada qu’à l’international.

Opération Prospérité Québec vise également à mettre en lumière les solutions et initiatives proposées par les exportateurs et partenaires impliqués de chacune des régions, grâce à une vigie en continu de l’écosystème.

Quelques recommandations communes proposées à ce jour pour aider les entreprises à diversifier leurs marchés :

  1. 1.Réactiver le programme CanExport, une initiative du gouvernement du Canada conçue expressément pour diversifier les marchés à l’international.
  2. 2.Réactiver le programme PSCE, une initiative du gouvernement du Québec visant non seulement à soutenir la diversification des marchés à l’international, mais aussi à favoriser le développement du commerce interprovincial au Canada.
  3. 3.Sécuriser vos approvisionnements, tout en limitant vos risques financiers.
  4. 4.Consolider vos relations commerciales avec vos clients des autres marchés, incluant ceux du Québec et des provinces canadiennes, car de nouvelles opportunités apparaîtront!
  5. 5.Planifier une stratégie de diversification, tout en étant conscient que les résultats ne seront pas nécessairement à court terme.

Quelques services qui pourraient vous aider en cette période d’incertitudes :

Facilitation de l’accès à l’aide financière des différents paliers gouvernementaux

En plus de l’ouverture prochaine du programme CanExport d’autres financements pourraient être offerts pour soutenir les entreprises durant cette prériode.

Votre ORPEX peut vous aider à naviguer dans le processus de demande de financement que ce soit de la compréhension des critères ou dans la rédaction de la stratégie.

Notre rôle est aussi de vous appuyer dans vos démarches de financement, en vous suggérant des programmes qui pourraient répondre à vos besoins.

Services-conseils

Notre réseau d’experts est à votre disposition tout au long de votre développement à l’international afin de vous soutenir à chaque étapes, surtout quand la situation est complexe.

Nos interventions sont spécialisées dans la problématique rencontrée. Par exemple, notre accompagnement peut être un soutien dans vos démarches logistiques et douanières dans la situation actuelle. Notre réseau de 65 experts à l’international sont là pour répondre à vos besoins.

Plan de commercialisation à l’international

Un développement à l’international doit être structuré afin de maximiser les retombées positives pour votre entreprise. C’est pourquoi un plan de commercialisation à l’international est une étape cruciale lors que vient le temps de développer de nouveaux marchés.

Un plan de commercialisation à l’international a pour principaux objectifs d’identifier et de définir vos objectifs, déterminer les tendances de votre secteur, analyser l’environnement interne et externe de votre entreprise ou encore caractériser la clientèle cible et la concurrence pour spécifier votre avantage concurrentiel. Le plan de commercialisation vous permet de planifier la mise en marché hors Québec ou hors Canada de votre produit et/ou service. Avec le soutien de l’expert à l’export, éviter les mauvaises surprises dans votre développement !

Préparation aux missions commerciales

Vous désirez envisager d’autres marchés que les États-Unis ?

Que ce soit de la qualification du salon à sa préparation, nos 65 experts sont présents pour vous aider.

Ceux-ci vous aident à identifier vos objectifs généraux et opérationnels, à définir votre stratégie de veille avant départ ainsi que votre traction commerciale. Grâce à nos plans d’actions (avant, pendant et après mission), ne passez pas à côté d’une occasion d’affaire à l’export !

Formations et coaching sur la situation

Commerce international Québec et ses experts offrent des formations spécifiques pour les exportateurs sur cette situation particulière.

Trouvez des activités sur :

  • Les divers impacts des tarifs
  • Le processus douanier
  • Les opportunités de marchés
  • Les stratégies de veille
  • La négociation
  • Les contrats de ventes
  • La préparation d’une demande de subvention
  • Et bien d’autres

Les ORPEX sont là pour vous aider dans l’identification de nouveaux marchés d’exportation.

Les ORPEX sont présents dans chacune des régions du Québec et ils vous offrent un accompagnement personnalisé et de proximité. Cliquez sur votre région ci-dessous pour voir les initiatives et les services que votre ORPEX peut vous proposer dans le cadre de l’Opération Prospérité Québec.

Liens vers les initiatives régionales et vos ORPEX

48e Nord International

  • Abitibi-Témiscamingue
  • Valérie Lemay

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DEL

  • Agglomération de Longueuil
  • Juan Sierra

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Innov & Export PME

  • Bas-Saint-Laurent
  • Steeve Kanema

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Québec International

  • Capitale-Nationale
  • Daniel Nguyen

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Carrefour Québec international – Centre-du-Québec

  • Centre-du-Québec
  • Sandrine Jobin

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 Services aux entreprises de la CCMM 

  • Montréal métropolitain
  • Pascaline Roquemaurel

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DPME International

  • Chaudière-Appalaches
  • Marie-Pierre Poulin

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Commerce international Côte-Nord

  • Côte-Nord
  • Abdoulaye Badiane

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Carrefour Québec international – Estrie

  • Estrie
  • Sandrine Jobin

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Chambre de commerce de l’Est de Montréal

  • Est de Montréal
  • Janaina Borges

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GIMXPORT

  • Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine
  • Gino Cyr

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SODIL

  • Lanaudière
  • Jacques Fortin

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Laurentides International

  • Laurentides
  • Ariel Retamal

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Laval Économique

  • Laval
  • Bonnet Huor

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Carrefour Québec international – Mauricie

  • Mauricie
  • Sandrine Jobin

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Expansion PME

  • Montérégie-Est
  • Eloi Charpentier

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Commerce International Québec Montérégie-Ouest

  • Montérégie-Ouest
  • Lourdes Fretes

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Excellence industrielle Saint-Laurent

  • Montréal Ouest
  • Miranda Gimmillaro

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Export Outaouais

  • Outaouais
  • Olivier Roy

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SERDEX International

  • Saguenay-Lac-St-Jean
  • Nadine Brassard

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En savoir plus sur nos services, nos activités

Services conçus pour réussir sa diversification des marchés

  • Analyser les besoins de l’entreprise
  • Sélectionner les marchés étrangers qui présentent le meilleur potentiel pour l’entreprise
  • Étudier un marché en profondeur
  • Élaborer des plans de commercialisation et plans d’action
  • Analyser des concurrents sur un territoire précis
  • Soutien à la préparation des demandes d’aide financière
  • Référence à des partenaires et à des experts externes

Formations et activités

Pour que votre entreprise développe les compétences nécessaires à la diversification de vos activités hors Québec

  • Conformité douanière
  • Topo de marchés
  • Accord de libre-échange
  • Négociation, ventes, contrats

Q&A – Menaces tarifaires : atténuez les impacts des tarifs douaniers

Questions répondues lors de l’activité sur les tarifs douaniers de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain | CCMM et Québec International

Les tarifs douaniers s’appliquent-ils uniquement aux produits fabriqués aux États-Unis, ou également à ceux qui transitent par les États-Unis avant d’arriver au Canada ? Y a-t-il des exemptions pour les produits d’origine étrangère reconditionnés ou revendus au Canada ?

En date du 8 février 2025, les tarifs s’appliquent uniquement aux marchandises provenant des États-Unis et considérées comme fabriquées aux États-Unis conformément au Règlement sur la détermination, aux fins de marquage, du pays d’origine des marchandises (pays ACEUM). Ces tarifs peuvent également s’appliquer à des produits ayant transité par les États-Unis, selon leur origine et leur traitement durant le transit.

Le gouvernement canadien a prévu d’imposer ces tarifs en deux étapes (reporté au 4 mars 2025, en réponse au report des États-Unis de leurs propres tarifs) :

  • Première vague : concerne une valeur d’importation de 30 milliards de dollars, ciblant des biens de consommation pour lesquels il existe des alternatives canadiennes ou provenant d’autres pays. L’impact sur les consommateurs est limité.
  • Deuxième vague : concerne des biens d’une valeur de 125 milliards de dollars, ayant un impact plus marqué sur le pouvoir d’achat des Canadiens, car les biens visés sont plus difficiles à remplacer.

Pour plus de détails, vous pouvez consulter la liste complète des biens sur le site du gouvernement du Canada.

Répondu avec le soutien de Dominique Babin, Associée, avocate, BCF, et René Forgues, CPA, Associé, Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l.

Quelles sont les meilleures stratégies pour absorber l’impact des tarifs douaniers sans compromettre nos marges ou stopper nos investissements ? La création d’une filiale aux États-Unis pourrait-elle être une solution viable ?

En date du 8 février 2025, chaque situation est unique. La création d’une filiale aux États-Unis peut être une option stratégique viable dans certains cas, mais il est essentiel d’évaluer soigneusement les risques et les coûts par rapport aux gains attendus.

La création d’une filiale américaine permettrait de continuer à faire affaire aux États-Unis, mais plusieurs facteurs doivent être pris en compte :

  • Comparaison des coûts de production entre les États-Unis et le Canada.
  • Frais de transport jusqu’au client final.
  • Taxes fédérales et étatiques américaines, qui peuvent évoluer.
  • Ajustements possibles du régime fiscal américain pour les sociétés incorporées.

Une alternative consiste à créer une filiale responsable de la distribution des produits aux États-Unis, ce qui permettrait d’éviter que la marge du distributeur soit soumise aux droits de douane. Cependant, une structure de prix de transfert doit être mise en place.

Avant de prendre des décisions stratégiques, nous recommandons fortement de consulter des experts afin d’analyser plusieurs scénarios et leurs impacts sur votre organisation.

Répondu avec le soutien de Dominique Babin, Associée, avocate, BCF, et René Forgues, CPA, Associé, Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l.

Les tarifs s’appliquent-ils uniquement aux produits physiques ou aussi aux services et logiciels ? Les industries culturelles et les services en ligne (SaaS) sont-ils touchés par ces mesures ?

En date du 8 février 2025, les tarifs ne s’appliquent qu’aux produits physiques.

Répondu avec le soutien de Dominique Babin, Associée, avocate, BCF.

Y a-t-il des stratégies viables pour contourner les tarifs, comme le transit par un pays tiers, la relocalisation de la production ou l’adoption d’un modèle de location plutôt que de vente ? Quels Incoterms privilégier pour minimiser les coûts ?

En date du 8 février 2025, il existe des stratégies viables pour minimiser les impacts des tarifs, mais chaque situation est unique et doit faire l’objet d’une analyse approfondie.

  • Incoterms recommandés :
  • L’Incoterm DDP et l’Incoterm FOB Destination impliquent que le vendeur canadien doit payer les droits de douane lorsque l’exportation est destinée aux États-Unis.

Répondu avec le soutien de Dominique Babin, Associée, avocate, BCF, et René Forgues, CPA, Associé, Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l.

Face aux tensions commerciales avec les États-Unis, quelles stratégies de diversification recommandez-vous ? Est-il plus avantageux de développer des échanges intra-Canada, avec l’Europe ou avec des marchés en croissance comme l’Afrique ?

En date du 8 février 2025, chaque situation est unique et nécessite une analyse approfondie des risques et opportunités propres à chaque marché. Cependant, il est évident que réduire la dépendance à un seul marché est essentiel pour créer de la valeur à long terme. (Dominique Babin et René Forgues, CPA)

Voici quelques stratégies à envisager :

Diversification intra-Canada :

Renforcer la demande locale permet de mieux se prémunir contre les risques liés aux marchés étrangers, tout en soutenant l’économie nationale. Cette option est particulièrement pertinente pour les entreprises qui n’ont pas encore pleinement exploité le marché canadien. De plus, cela permet d’augmenter la résilience face aux tensions commerciales, en particulier avec les États-Unis.

Expansion vers l’Europe :

L’accord CETA entre le Canada et l’Union Européenne facilite l’accès au marché européen en réduisant les barrières tarifaires. Cependant, ce marché présente une forte concurrence et des régulations strictes, ce qui nécessite une adaptation des produits et une bonne stratégie d’exportation. L’Europe reste une région clé pour les entreprises canadiennes à la recherche de nouveaux débouchés commerciaux stables et réglementés.

Exploration des marchés émergents en Afrique :

L’Afrique offre un potentiel de croissance considérable, surtout dans les secteurs de l’énergie, des infrastructures, et des technologies. Cependant, les entreprises doivent être conscientes des risques politiques et des défis logistiques, et évaluer les zones de libre-échange comme la ZLECAf, qui favorise le commerce intra-africain.

Consolidation des relations avec les pays d’Asie et du Pacifique (PTPGP) :

Le PTPGP (Accord de Partenariat Transpacifique Global et Progressiste) est un accord commercial stratégique pour les entreprises canadiennes souhaitant accéder aux marchés de la région Asie-Pacifique, comprenant des économies majeures telles que le Japon, le Vietnam, l’Australie, la Malaisie et d’autres pays de l’ASEAN. Cet accord permet de réduire les barrières tarifaires et de simplifier les règles d’origine pour les produits canadiens, offrant ainsi de nouvelles opportunités dans des secteurs comme les technologies, l’agroalimentaire, et les ressources naturelles. En outre, cette région est en pleine expansion, avec une croissance économique soutenue, ce qui la rend particulièrement attractive pour les entreprises canadiennes cherchant à se diversifier.

Exploitation des opportunités dans les marchés en croissance :

Bien que des marchés comme l’Inde et les pays de l’Asie du Sud-Est soient encore émergents, leur croissance économique rapide en fait des cibles attractives. Ces pays offrent un accès à un marché de consommateurs jeunes et à une main-d’œuvre qualifiée, notamment dans les secteurs des technologies, des biens de consommation, et des infrastructures. Les accords comme le PTPGP ou le futur RCEP (Accord global économique régional) augmentent la compétitivité des entreprises canadiennes dans cette région. (Pauline Mallet)

Répondu avec le soutien de Dominique Babin, Associée, avocate, BCF, et René Forgues, CPA, Associé, Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l. et Pauline Mallet, Commissaire à l’international, Chambre de commerce du Montréal métropolitain

Quels sont les impacts des tarifs sur la déclaration de valeur en douane et sur la facturation en cas de ventes entre filiales ? Comment éviter la double taxation dans un contrat DDP ?

En date du 8 février 2025, si vous possédez déjà une filiale aux États-Unis, il est fortement recommandé de réévaluer la stratégie de prix de transfert pour vous assurer qu’elle est adaptée aux évolutions potentielles des tarifs douaniers. Cette réévaluation doit prendre en compte les impacts des droits de douane sur la valeur en douane, et garantir que les transactions intra-groupes respectent les principes de prix de transfert à la juste valeur.

Actuellement, plusieurs entreprises procèdent à cet exercice pour tester la résilience de leur organisation face aux tarifs. Cela inclut la révision des contrats intra-groupe pour s’assurer que les prix de transfert reflètent les coûts supplémentaires liés aux tarifs et que ces ajustements sont conformes aux règles fiscales et douanières en vigueur.

Par ailleurs, il est crucial d’explorer des options d’optimisation fiscale et douanière. Par exemple, il peut être pertinent de revoir la structure des flux logistiques (comme l’utilisation de zones franches ou de points d’entrée alternatifs) ou d’ajuster les clauses contractuelles dans les ventes DDP pour limiter les risques de double taxation (en veillant à ce que les droits de douane ne soient pas inclus deux fois dans les bases de taxation).

Répondu avec le soutien de René Forgues, CPA, Associé, Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l.

Quels sont les impacts des changements des seuils de minimis pour les ventes en ligne ? Avez-vous des recommandations spécifiques pour le e-commerce (B2C) par rapport aux transactions B2B ?

En date du 8 février 2025, le décret est muet sur cet aspect.

Répondu avec le soutien de René Forgues, CPA, Associé, Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l.